Carlos Baleba CAN ► Son père met fin aux rumeurs

Le père de Carlos Baleba vient de mettre un terme aux spéculations sur un éventuel forfait de son fils à la CAN Maroc 2025. Eugène Baleba, géniteur du milieu de Brighton, est monté au créneau avec un message sans équivoque : « Mon fils est sous ma responsabilité et ne peut en aucun cas prendre seul ce type de décision. La personne qui a écrit ces rumeurs sait ce qu’elle cherche. » Le jeune Lion Indomptable sera-t-il finalement au rendez-vous continental ?

Alors que les rumeurs d’un boycott de Carlos Baleba enflammaient les réseaux sociaux et alimentaient les conversations dans le landerneau footballistique camerounais, c’est le principal intéressé – ou plutôt son géniteur – qui vient de trancher définitivement.

Eugène Baleba, père du joueur et originaire de Pouma, a publié un message ferme sur un forum où circulaient les fausses informations. « Je suis présent sur ce forum sans que certains d’entre vous le sachent. Je m’appelle Eugène Baleba, géniteur de Carlos Baleba. Je tiens à préciser qu’il ne faut pas relayer n’importe quelle information sans en connaître l’exactitude », a-t-il déclaré.

Le message du paternel est clair comme de l’eau de roche : aucune décision majeure concernant la carrière de Carlos Baleba n’est prise sans l’accord familial. Ce n’est pas du jeu de propager de telles rumeurs !

Un cadrage familial qui rassure les Lions

Cette intervention publique balaie d’un revers de main toutes les hypothèses d’un forfait ou d’un désistement de dernière minute. À l’approche de la CAN qui débute le 21 décembre au Maroc, chaque détail concernant la liste des Lions Indomptables est scruté à la loupe par les supporters camerounais.

La sortie d’Eugène Baleba met fin à un faux débat qui commençait à prendre de l’ampleur. Le milieu de terrain de Brighton, 21 ans, honorera bien sa convocation et disputera la compétition continentale aux côtés de ses coéquipiers dans le groupe F face à la Côte d’Ivoire, au Gabon et au Mozambique.

Cette clarification intervient dans un contexte déjà tendu autour de la sélection camerounaise, marqué par le conflit entre Marc Brys et Samuel Eto’o. Les Lions n’avaient vraiment pas besoin d’une polémique supplémentaire à trois semaines du coup d’envoi.