Une quarantaine de journalistes et communicateurs formés sur l’extrémisme violent et la radicalisation – BurkinaInfo – Toute l’information du Burkina Faso en temps réel

La conférence publique sur la prévention de l’extrémisme violent et la lutte contre la radicalisation au Burkina Faso a pris fin le mercredi 29 octobre 2025. Plusieurs thématiques ont été abordées au cours des 72 heures de cette conférence publique.

En vue de renforcer les capacités des journalistes et communicateurs sur l’extrémisme violent et la radicalisation, le ministère en charge de la Communication a organisé une conférence publique à leur intention. Cette conférence s’est tenue du 27 au 29 octobre 2025 à Bobo-Dioulasso. Les participants ont été entretenus sur plusieurs thèmes, dont,

« Les différentes formes d’extrémisme violent : quelles solutions pour lutter contre l’extrémisme violent et la radicalisation des jeunes au Burkina Faso ? », la « Participation citoyenne et lutte contre l’extrémisme violent et la radicalisation : quelles contributions des citoyens dans le renforcement de la paix et de la cohésion sociale au Burkina Faso ? ».

Selon le Directeur général de la communication et des médias, Yirmalè Frederic Somé, le renforcement des capacités des journalistes et des communicants est indispensable dans cette période de reconquête du territoire national.

« Il est important de relever qu’un acteur de l’information, de la communication sans une formation continue devient un danger pour lui-même, pour l’opinion publique et un vecteur de déstabilisation », a-t-il déclaré.

Au cours de ces trois jours de conférence, le Directeur général de la communication et des médias a présenté aux participants une communication sur la « Mise en œuvre de la Stratégie de communication de guerre du MCCAT : enjeux, défis et perspectives ».

Dans son explication, il a décliné trois axes de cette stratégie. Il s’agit de la consolidation de la résilience des populations et la reconquête du territoire national, la consolidation de la paix, de la cohésion sociale et de la réconciliation nationale et l’amélioration de l’image du Burkina Faso.

Il faut rappeler que cette conférence publique a réuni une quarantaine de participants. Ils sont venus des régions du Kadiogo, du Bankui, des Tannounya, du Guiriko et du Djôro.

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