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Cameroun ► Scandale à Douala : saisie d’armes et faux PV

Coup de tonnerre à Douala ! Ce vendredi soir, une opération des forces de sécurité a permis la découverte d’un arsenal impressionnant et de milliers de faux procès-verbaux d’ELECAM. Parmi les personnes interpellées figurent Djeukam Tchaméni et Anicet Ekane, deux figures politiques bien connues du public. Selon une source sécuritaire, « la saisie dépasse tout ce que nous avions imaginé ». Une affaire d’État ? Une tentative de manipulation électorale ? Le Cameroun tout entier s’interroge sur les dessous de ce scandale sans précédent.

⚠️ Une opération coup-de-poing au cœur de Douala

L’intervention s’est déroulée dans la soirée du 24 octobre 2025 dans un quartier discret de Douala. Alertés par des informations confidentielles, les agents ont effectué une descente ciblée qui s’est soldée par l’arrestation de Djeukam Tchaméni et d’Anicet Ekane, ainsi que trois conducteurs de moto-taxi.

Le bilan matériel donne le vertige :

plus de 9 734 faux procès-verbaux (PV) ELECAM, 2 fusils AK-47, 1 pistolet automatique, 90 munitions, 20 uniformes militaires “Made in China”, des ordinateurs portables, plus de 48 millions FCFA en liquide et mobile money, sans oublier des explosifs non amorcés et un détecteur de métaux.

Une véritable logistique de guerre, qui laisse perplexe. D’après une source militaire locale, « tout était prêt pour semer la confusion après la proclamation des résultats électoraux ».

🔍 Les suspects liés à un réseau de déstabilisation ?

Les premiers éléments de l’enquête pointent vers un réseau structuré.
Le nom de Yaouba Sali Abassa, déjà connu pour des activités subversives, aurait été cité comme fournisseur du matériel militaire.
Les enquêteurs soupçonnent une opération concertée visant à fabriquer de faux résultats électoraux pour justifier un mouvement d’insurrection.

Un haut gradé confie sous anonymat :

« Ce qui se préparait n’était pas une simple fraude, mais un plan de déstabilisation du Cameroun. »

À Yaoundé, les autorités restent pour l’instant discrètes, mais plusieurs perquisitions sont en cours dans les domiciles des personnes arrêtées. Des preuves numériques auraient été extraites des ordinateurs et téléphones saisis.

🧨 Entre politique, manipulation et sécurité nationale

Cette affaire explosive survient à un moment où le pays est déjà sous tension à cause de la présidentielle de 2025.
Des manifestations isolées ont éclaté à Mokolo et Maroua, alors que les partisans du FSNC d’Issa Tchiroma Bakary crient toujours à la fraude.
Pour certains observateurs, cette saisie prouve que « des forces obscures voulaient semer le chaos pour contester les résultats ».

Sur les réseaux sociaux, les réactions fusent :
👉 “Ce n’est pas du jeu, là !” commente un internaute à Douala.
👉 “On dirait que certains étaient prêts à brûler le pays juste pour le pouvoir…” ajoute une autre.

🧩 Un scandale d’État en devenir ?

Les suspects ont été immédiatement transférés à Yaoundé pour une exploitation approfondie.
Les enquêteurs cherchent à établir les liens financiers et politiques derrière cette affaire aux allures de conspiration.
Si les accusations sont confirmées, il pourrait s’agir du plus grand scandale électoral depuis 1992.

Pour l’instant, silence radio du côté du Ministère de l’Administration Territoriale et d’ELECAM, mais le public réclame la transparence totale.

L’arrestation de Djeukam Tchaméni et d’Anicet Ekane, combinée à la saisie de faux PV et d’armes, jette une ombre inquiétante sur la stabilité du Cameroun à la veille de la proclamation des résultats officiels.
Entre spéculations politiques et menaces sécuritaires, le pays retient son souffle.
➡️ Faut-il y voir un simple épisode judiciaire ou le signe d’un vaste complot électoral ?

Crédito: Link de origem

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