Un aveu bouleversant fait frissonner. Le 25 décembre, depuis Yaoundé-Étoudi, Yannick Noah a parlé de sa santé fragile et de son combat contre un cancer mené depuis des années. Dans un moment d’émotion rare, ses avocats ont lu son testament devant ses enfants. « Je veux qu’ils soient protégés », a-t-il fait transmettre. La scène, lourde de sanglots, a choqué les proches et secoué l’opinion. Quand une légende évoque ainsi la fin, faut-il s’inquiéter du pire ?
Santé fragile et testament lu à Yaoundé : l’émotion est totale
Installé durablement au Village Noah, à Étoudi, l’ancien vainqueur de Roland-Garros 1983 a rompu le silence après des mois d’absence médiatique. Il évoque une fatigue extrême et un combat qui l’use, parlant d’un retour aux racines camerounaises pour « finir chez lui ». Le testament, lu devant la famille réunie à Yaoundé, détaille une fortune estimée à 120 millions d’euros destinée à ses cinq enfants et à Joakim, sans part pour l’État ni les ex-conjoints.
La scène a marqué les esprits : enfants en larmes, proches bouleversés, et cette phrase qui glace — « l’argent n’achète pas la santé, mais il protège ceux qu’on aime ». Joakim Noah aurait lancé, submergé : « Papa, tu es immortel ! ». Une déclaration qui dit l’amour… et la peur.
L’annonce a aussitôt enflammé les réseaux. Entre respect pour la famille et polémique fiscale, le débat divise, tandis que beaucoup retiennent l’essentiel : un homme qui prépare les siens face à la maladie. À Yaoundé, des anonymes parlent d’un « message d’adieu qui ne dit pas son nom ». Ce n’est pas du jeu pour les cœurs sensibles.
Yannick Noah n’annonce pas sa fin, mais prépare l’après. Entre courage et inquiétude, ses mots résonnent comme un avertissement.
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